Cet ensemble de neuf scènes se présente comme une revue de cabaret du petit racisme ordinaire.
Certaines scènes sont burlesques, d'autres franchement plus réalistes, et tous les styles de jeu sont permis.
On peut jouer ces scènes dans l'ordre ou différemment. On peut même en extraire certaines dans le cadre d'animations ou d'interventions. Tout dépend du public et des circonstances des représentations.
Car pour reprendre l'expression même de B. Brecht au sujet de Grand'Peur et misère du IIIe Reich, "ce qui est beau, c'est ce qui est utile !"
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