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"À trop vouloir démontrer l’inexistence de Dieu, l’homme n’a pas vu la sienne. Il y a là de quoi écrire des milliers de livres."
Rome, 1969. Un certain Nicola Palumbo montre une agitation grandissante. À peine élu à la tête d’un parti politique, il démissionne. Dans la foulée, le voici qui s’engage comme simple vendeur de canapés. Il pense avoir trouvé "le lieu possible d’une observation décisive sur l’existence". Le fait est qu’autour de Palumbo rien ne semble tourner rond. En 1969, l’histoire des hommes est à la croisée des chemins : le "boom" économique et le "boum" des bombes anarchistes détonent ensemble — ou travaillent ensemble ? Dans la Ville éternelle, Nicola Palumbo croise l’existence humaine en voie d’effritement : un ami gigolo, un écrivain en panne, un homme d’affaires capable de prophéties et même une actrice que tout un pays adule… Mais celui avec lequel Palumbo engage un véritable dialogue, c’est lui-même. À mesure que Nicola Palumbo échange avec Nicola Palumbo, il s’éloigne de la réalité : plus il observe le monde, moins il sait ; plus il soliloque, moins il peut. Avec cette "comédie à l’italienne" marquée par les films des Risi, De Sica ou Sorrentino (La grande belleza), Jean Le Gall raconte l’impuissance, parfois émouvante, souvent comique, d’un homme happé par le moment historique qui nous a produits. Un roman élégant, lucide, sans indulgence vis-à-vis de la politique, témoignant une profonde tendresse pour ses personnages piégés entre le sol et le ciel.