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En revenant près de 20 ans plus tard sur l’œuvre de Deleuze, au moment où son livre de 1993 connaît plusieurs traductions à l’étranger, Jean-Clet Martin s’interroge sur l’impact d’une œuvre sur notre quotidien et sur les commentaires à l’infini qui finissent par la figer dans une attitude très éloignée de la pensée vivante qu’a pu être la pensée de Deleuze. Parcourir alors (comme on traverse le Musée du Louvre au pas de course), la suite des concepts énoncés par Deleuze, depuis Différence et répétition jusqu’aux écrits sur le cinéma, c’est placer l’œuvre de Deleuze au cœur de notre expérience quotidienne et s’en imprégner pour penser et créer encore. N’était-ce pas le but ?
Depuis son premier essai sur La Philosophie de Gille Deleuze (Payot, 1993), Jean-Clet Martin poursuit une œuvre philosophique exigeante, où peinture et littérature tiennent une place privilégiée, comme en témoignent son dialogue Vermeer-Spinoza (Leo Scheer), son livre sur Van Gogh (Seuil) ou sa biographie philosophique de Borges (L’éclat). Son dernier livre : Une intrigue criminelle de la philosophie : Lire la Phénoménologie de l'Esprit de Hegel (La Découverte 2009) a été salué par la critique