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Novembre 1970. De gaulle est mort. Émotion nationale et déjà la question : qui va porter le cercueil du plus illustre des français ? Le maire de Colombey-les-Deux-Églises, M. Jean Raullet, se dit que le «vieux» général couvert de gloire, porté en terre par les «jeunes» de son village, serait un symbole fort. Mme de Gaulle approuve ce choix. Le maire demande que l'on dresse une liste de dix noms. On lui en soumet douze. Il se refuse à en retirer deux. Ils sont âgés de 17 à 23 ans. Ils sont fils du maire, du boucher, du boulanger, du menuisier... Tous connaissaient le général pour l'avoir vu en plusieurs circonstances lorsqu'ils étaient enfants de choeur ou qu'ils se rendaient à la Boisserie pour vendre des billets de tombola. L'un d'entre eux s'est même retrouvé près de lui lors du passage du tour de France... Lors de la cérémonie funèbre, les «douze garçons d'honneur» portent leur regard embué sur les compagnons de la libération qui arborent l'écu barré d'un glaive et frappé d'une croix de lorraine. à quelques mètres de là le fossoyeur se demande si les «petits» sauront déposer le cercueil sans qu'il leur échappe ou glisse. Mais tout se passera bien... Jean-Paul Ollivier, né le 22 mai 1944 à Concarneau (Finistère), est grand reporter à France-Télévisions et spécialiste de l'histoire sportive. Membre de l'Institut Charles de Gaulle, il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le Général, ainsi que de nombreuses biographies de champions.