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Credo et crédit ne font pas bon ménage. Nécessaire au développement mais symbole d’une mondialisation non maîtrisée, l’industrie financière est devenue aussi complexe que scandaleuse. Sans parole forte qui puisse en inspirer les acteurs, qu’ils soient responsables d’entreprises, opérateurs des marchés ou régulateurs, la part sombre de la finance échappera à tout contrôle. Certes, le christianisme porte une telle parole, inspirée des textes saints, véhiculée par les Pères de l’Église, les conciles, les ordres religieux, souvent à rebours des pratiques financières courantes. Mais l’Église catholique a tardé à intégrer dans sa doctrine sociale un discours normatif sur les questions financières : la publication d’Oeconomicae et pecuniariae quaestiones, signé en première main de la Congrégation pour la doctrine de la foi, date de 2018. Dans cet essai bref et pertinent, Frédéric Lobez retrace la longue histoire de l’Église et de l’usure et analyse la position actuelle du Vatican sur la finance. Articulant foi et raison, cherchant à discerner qui des institutions du capitalisme ou des capitalistes est comptable des erreurs de la finance, il interroge les principes structurants de la pensée sociale catholique : comment l’Église peut-elle tenir un discours cohérent sur la finance ?