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Après les trente-cinq années (1915-1949) du premier volume de la Correspondance et les sept années du second (1950-1956), voici le troisième et sa période exceptionnelle : 1957 et 1958. Il est riche d'enseignements en raison de la longue crise de La Charité, le petit groupe qui avait débuté en 1933 à Ivry-sur-Seine, qui ne trouvera sa solution qu'à Pâques 1958. Les échanges de Madeleine Delbrêl avec le cardinal Veuillot et avec ses équipières y tiennent une place décisive et permettent de suivre pas-à-pas le discernement qui fut nécessaire à la fidélité à l'appel reçu. Ce troisième volume accompagne aussi la période de la fin de la rédaction de « son » livre, Ville marxiste terre de mission, et celle de sa sortie en librairie en septembre 1957. Madeleine correspond alors aussi bien avec Georges Marrane, le maire communiste d'Ivry, et son adjoint Venise Gosnat, qu'avec le cardinal Montini, le futur Paul VI, mais aussi des prêtres proches tels que Louis Augros et Jacques Loew. Autant de rencontres décisives qui dessinent son itinéraire singulier. Poète, promise à une carrière littéraire, Madeleine Delbrêl (1904-1964) se convertit à l'âge de 19 ans. Son parcours la mena, en 1933, avec d'autres femmes, à Ivry-sur-Seine, banlieue industrielle et communiste du sud de Paris. Exerçant le métier d'assistante sociale, elle fut, par son union à Jésus-Christ, pionnière d'une mission renouvelée, menant dans l'action une authentique vie mystique. Le pape François l'a déclarée vénérable le 26 janvier 2018.