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Pour la première fois, Patrick Bruel a décidé de se livrer, lors d'une conversation avec Claude Askolovitch, sur sa vie, ses choix et ses engagements. " Il n'y a pas de début adéquat tant ce type est connu, et comment veux-tu le saisir, il est trop de mecs à la fois, qui chante et joue et fait flamber au poker et parle et aime et veut être aimé, et petit garçon et vieux sage et papa et poteau... L'idée est de le prendre au débotté pour qu'il ne parte pas en boucle, et Patrick ne fera pas du Bruel. Si on réussit ce truc, il ne jouera pas son rôle, il n'en aura pas le temps, je le forcerai au ping-pong verbal et il sera meilleur que moi, puisqu'il est plus rapide. On s'est vite compris sur ce qu'on pouvait jouer. On a décidé qu'on ne ferait pas une bio déguisée, mais une histoire ensemble, un dialogue, entre deux mecs qui sont déjà vieux mais qui ne le savent pas ou qui s'en doutent et, bien sûr, ce sera lui le héros mais, moi, je serai son pote. Tant qu'à avoir un copain, autant qu'il s'appelle Bruel... " Claude Askolovitch