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Il s’appelle Pierre-Louis. Pierre-Louis Garçon. « Comme un garçon », disait-on dans la cour de récréation, à Nanterre. Au fil du temps ce nom s’est détaché de lui. Il l’a remplacé par un pseudonyme. Longtemps il a vécu en regardant en arrière, en quête d’un amour perdu à vingt ans. C’est en fermant les yeux et la bouche de son père qu’il ressent violemment la fuite du temps. La nécessité d’en finir avec sa jeunesse. Durant une semaine, Pierre s’installe pour écrire dans une chambre d’hôtel, place de Clichy, à Paris. Au plus près du visage de Lucie qui le hante depuis 1979. Tandis qu’un électrophone rejoue la bande-son de cette année-là, Patti Smith, Zappa, Higelin, il se rappelle sa rencontre avec la jeune fille et leur groupe d’amis, politisés, partageant le goût du cinéma et de la littérature. L’époque des Pierre Goldman, Mesrine, Sartre, Marchais, Mourousi, Ockrent. Aux images surgies du passé répondent celles d’aujourd’hui, dessinant une époque cynique et matérialiste à laquelle Pierre se sent de plus en plus étranger. Dans la chambre revit un théâtre peuplé de fantômes, d’ombres et de lumière, tandis que se glissent des visages de femmes sur l’écran de son ordinateur. L’espoir, peut-être, de retrouver l’amour.
Avec Comme un Garçon, Pierre-Louis Basse signe un premier roman élégant et mélancolique.