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Les critiques de la détention privée du capital des entreprises, aussi anciennes que le capitalisme, sont ravivées par les enjeux existentiels que constituent le réchauffement climatique, les atteintes à la biodiversité et la dégradation des espaces naturels de la planète. Pour certains, si l’humanité court à sa perte, si entreprises et gouvernements sont empêchés d’opérer une véritable transition écologique, c’est la faute des actionnaires et de leurs exigences : objectifs de rentabilité insoutenables, obsession du court terme, dividendes excessifs qui empêchent d’investir dans la transition environnementale. Le tableau est-il si noir ? Christophe Bonnet met les croyances sur les actionnaires, relayées par les médias et considérées comme des évidences, à l’épreuve des observations empiriques et des travaux des chercheurs en finance, largement ignorés des décideurs et du public. Il montre comment certaines croyances infondées façonnent notre vision souvent négative de l’entreprise, et explique leur origine et leur diffusion. Cet ouvrage permet de mieux comprendre le fonctionnement de l’entreprise capitaliste, ses limites et les évolutions en cours. Il éclaire les débats actuels sur la finance verte (illusion ou révolution ?), l’activisme climatique, la responsabilité sociale et environnementale des entreprises et le rôle des actionnaires dans leur gouvernance. Si la finance peut contribuer à faire face aux enjeux écologiques, elle ne peut pas tout, et des actions résolues des citoyens et des États sont indispensables.