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À la croisée des chemins, le temps est venu de faire l’inventaire de ce qu’il faut laisser derrière, de ce que l’autre côté de la nuit peut offrir. Examen des failles et des envies, décompte des fictions, transcription des trajectoires?: les poèmes de «Certains soirs de catastrophe» en appellent à la fois à ce qui n’est plus et à ce qui est désiré. Pilier de son récit, un homme raconte le souffle qui vient après une plongée en apnée, l’appel grisant de la tempête, le vertige de s’en remettre corps et âme à la potentialité de l’amour.
Ce nouveau recueil de Stefan Psenak, qui prolonge l’exercice d’introspection entamé dans «Longtemps j’ai porté mes deuils comme des habits trop grands», raconte le retour à soi, à un état d’esprit fait d’ouverture, de découvertes et d’amour. Malgré les deuils qui continuent de peser, l’auteur renoue avec ce regard juste et lumineux qui fait de son œuvre un rendez-vous incontournable.