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Il existe une loi dans la nature dont, à ma connaissance, personne n’a jamais fait mention à ce jour. Chaque heure qui passe voit naître et mourir une infinité de minuscules êtres vivants — bactéries, microbes, « animalcules » — dont l’existence n’a guère d’incidence si l’on excepte sa présence massive et l’accumulation de ses effets infimes. Ces êtres vivants minuscules sont dépourvus de toute perception élaborée et ils ne souffrent pas beaucoup. Cent billions d’entre eux pourraient mourir sans susciter ne serait-ce que le début des réactions occasionnées par la mort d’un seul être humain. Qu’ils soient petits comme des microbes ou grands comme des humains, les êtres vivants sont régis, quelle que soit leur échelle, par un subtil équilibre, de la même façon que les branches d’un grand arbre, réunies ensemble, égalent la masse de ses racines, et les racines celle du tronc. C’est du moins le principe. Je pense que Vergil Ulam fut le premier à le violer… Greg Bear, Le Chant des leucocytes