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Bao Daï, le Fils du Ciel au double visage. Pour la presse, un sportif, un joueur, un amateur de femmes et de voitures racées. Pour ses confidents, un politique ayant pour unique objectif l’indépendance et l’unité de son pays, le Viêt-Nam. Pression qu’il ne cesse d’exercer, avec plus ou moins de fermeté, sur les différents gouvernements français de l’avant-guerre. Puis, il se montre peu soucieux des options idéologiques de ses interlocuteurs, celles des Japonais vainqueurs et occupants, et enfin celles d’Ho Chi Minh, avec lequel il se lie après son abdication, avant de se remettre sous la tutelle de la France, et ce jusqu’à Diên Biên Phû. Toujours, pour cet « Hamlet jaune », comme le nomme Lucien Bodard, dans l’espoir de réaliser son rêve d’indépendance, quels que soient les moyens employés. Ruiné, l’empereur a longtemps occupé un modeste deux pièces à Paris, dans le quartier du Trocadéro. Il s’est éteint le 31 juillet 1997, à l’âge de quatre-vingt-trois ans. Une occasion pour Daniel Grandclément, de brosser le portrait complet d’une famille impériale de l’Orient extrême, dont la beauté et le luxe fascinent les foules françaises. Sans oublier la Cité interdite, un monde coloré et mystérieux, où palpite cette ex-Indochine, dont nos concitoyens cultivent une nostalgie croissante.