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La « grande pêche » à la morue, à Terre-Neuve, débute en France à la fin du XVe siècle, et atteint son apogée au début du XXe siècle, avec près de 500 bateaux, goélettes ou trois mâts, embarquant plus de 10 000 hommes. La vie sur ces voiliers terre-neuvas est d'une extrême dureté, et c'est en 1894, qu'est fondée la Société des œuvres de mer, « pour apporter - sur les lieux de pêche même - des secours matériels, moraux et religieux, aux marins isolés et retenus pendant de longs mois loin des leurs, en des mers tourmentées ». Le Père Yvon fera plusieurs « campagnes » de pêche sur les bancs de Terre-Neuve et du Groenland. Passant d'un bateau à l'autre, il rendra visite à des milliers de pêcheurs. Il nous donne ici lecture de son journal de bord, qui décrit l'existence « terrifiante » de ces hommes que l'on a appelés les « bagnards de la mer », ou les « forçats de l'océan ». C'est à la fois un roman vécu, autrement passionnant que tout ce que l'imagination la plus féconde aurait pu produire, et une description authentique de « l'enfer des bancs ».