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Il y a un an, le Rwanda sombrait dans un des épisodes les plus meurtriers de l'histoire récente en Afrique au sud du Sahara. Ouvrages et commentaires sur le "génocide rwandais" se sont jusqu'ici centrés sur la narration des faits et sur les péripéties immédiates du drame. A juste titre car il fallait sauvegarder le "détail" du massacre, pour enfin être en mesure de casser le cercle vicieux impunité/recommencement et esquisser le travail de mémoire restant à faire au Rwanda. Un an après l'hécatombe, il a semblé opportun de dépasser le récit, de déterrer les racines et comprendre les causes. Ainsi, l'histoire rwandaise souvent réifiée devait-elle être "revisitée" : les violences cycliques (1959, 1963, 1973, 1990...) autant que la pression démographique (en marche depuis la fin des années 40) devenue insoutenable ; de même, le mirage de la " révolution sociale hutu " (façon image d'Epinal) autant que "l'oppressante ruralité", "le cloisonnement social" et "la pauvreté partout", comme le souligne l'auteur. Ces divers éclairages ne débouchent pas sur des relations de causes à effets. D'abord parce que la tuerie sélective n'était pas inévitable, "fatale". Ensuite parce que des inconnues subsistent sur la manière dont les individus et les groupes sociaux ont réagi face à la violence larvée ou ouverte de ces dernières décennies.