Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Rendre à nouveau disponibles des œuvres introuvables, insoupçonnées ou inédites, telle est la vocation de la collection " Le Domaine ". Avec ces textes préfacés par Colette, Renée Hamon nous offre un ensemble de reportages et de récits d'aventure sur la Polynésie d'avant-guerre, vue par un regard féminin. Les deux œuvres introuvables de la " petite effigie de l'aventure " (Colette)Première femme à sillonner la Polynésie en cargo, Renée Hamon a vécu vingt mois à Tahiti, aux Tuamotou et aux Marquises, sur les traces de Paul Gauguin. Elle en fait dans ces pages le récit pittoresque, non sans poser un regard lucide, parfois railleur, sur les effets pervers de la présence française – délabrement des mœurs et des coutumes, incurie des autorités de santé. Aux îles de lumière paraîtra en 1940 avec le soutien de Colette, qui s'est prise de tendresse pour cette aventurière. C'est elle qui présente au public ces " croquis d'insulaires qui ne sont point ceints et couronnés, nuit et jour, de tiaré inamovible ". D'îles en atolls, Amants de l'aventure, unique œuvre de fiction de la " reporter-vagabonde ", campe une galerie d'originaux " dont la conscience n'est pas absolument nette ", mais qui ont " quelque chose à raconter ". Il a, dira encore Colette, " le goût, la couleur, le son inimitable des choses vraies " et paraîtra en 1943, peu avant la mort du " petit corsaire ".