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Auguste côtoya au quotidien les aristocrates, qui s’opposèrent à lui ou l’assistèrent, voire le conseillèrent pour l’aider à s’emparer du pouvoir, puis à le conserver. C’est à ce groupe social et à ses relations avec Auguste que ce livre est consacré. Il cherche à faire mieux comprendre comment les aristocrates vécurent en leur for intérieur la chute de la république et l’avènement d’un nouveau régime monarchique en sélectionnant en guise d’échantillon les trajectoires de neuf aristocrates à partir du critère de l’appartenance à une génération, définie comme une expérience commune de vie. La première génération, celle d’Auguste, fut marquée par les guerres civiles, qui la traumatisèrent. Ses membres eurent à faire des choix quand il s’agit de se rallier à tel ou tel imperator. Il en allait de leur survie et de leur patrimoine. La deuxième génération, née au cours de la décennie qui précéda la bataille d’Actium en 31 av. J.-C. ou qui la suivit, ne connut que la paix civile et la figure du princeps pour la garantir. Son comportement oscilla entre la nécessité de faire l’éloge du prince et celle de défendre le prestige de la famille. La troisième génération, celle des années 10 et de la dernière décennie av. J.-C., se définit par un événement fondateur, la première succession impériale, qui vit Tibère devenir princeps à la mort d’Auguste. Cette dernière époque augustéenne est étudiée à travers le regard d’une matrone et de trois enfants. Les neuf trajectoires sont les suivantes : L. Munatius Plancus, M. Valerius Messala Corvinus, L. Tarius Rufus, Cn. Calpurnius Piso, Paullus Fabius Maximus, Aemilia Lepida, Domitius, Domitia et Galba quand il était un enfant.