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Le général de Gaulle est le personnage qu’Aron évoque le plus régulièrement dans ses mémoires.
De leur rencontre en 1940 à Londres, où les avait conduits leur commun refus de la défaite devant le totalitarisme nazi, jusqu’à la mort de de Gaulle, le destin des deux hommes est lié. Cet ouvrage regroupe l’essentiel des articles écrits par le philosophe sur l’homme politique dans les différents journaux et revues auxquels il a collaboré : depuis la Résistance et la Libération, jusqu’au départ de de Gaulle en 1969, en passant par la sortie du bourbier de la guerre d’Algérie et la rédaction de la Constitution. Aron approuve souvent l’action du général, notamment sur la Constitution, l’engagement contre le totalitarisme stalinien, la construction d’une défense nucléaire française indépendante ou la réforme de l’économie française. Mais le respect, voire l’admiration, de l’intellectuel pour le grand homme d’État n’éteint jamais ni le sens critique ni la liberté de l’esprit ; et Aron, quand il l’estime nécessaire, sait prendre ses distances avec de Gaulle : sur son anti-américanisme inutile, ses réticences à l’égard de la construction européenne, ou, de manière plus douloureuse en 1967, sa rupture avec Israël.
La préface inédite de Jean-Claude Casanova restitue l’horizon politique et intellectuel dans lequel ces textes furent écrits, en même temps qu’elle jette un éclairage personnel sur ce que fut la relation complexe entre Aron et de Gaulle.