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C’est un bilan très sévère de l’action ambiguë et paradoxale des socialistes en matière de défense et un ensemble de propositions originales et parfois révolutionnaires, mais applicables, visant à rendre à l’Etat la capacité de défendre sa sécurité et à l’armée celle de remplir ses missions, compte tenu de l’évolution du monde. A quoi servent donc les 200 milliards de budget annuel, demandent les auteurs, quand on sait qu’il n’y a guère plus de 30 000 hommes "opérationnels" ? Pour eux, les forces armées sont désorganisées, le service militaire, injuste et pervers, n’existe plus, les réservistes sont marginalisés, il y a en matière d’armement une coupable collusion militaro-industrielle, la dissuasion nucléaire a perdu son crédit. En fin de compte, la France de 1993 est incapable de faire la guerre. La gesticulation masque les carences et anesthésie les Français. Sur tous ces problèmes, ainsi que sur la condition et le statut des militaires (qui devra tenir compte de la fonction autant que du grade), sur l’équipement des forces, sur la recherche et la production d’armement, les auteurs réclament avec vigueur des choix concrets et des réformes radicales qui conduiraient à une nouvelle armée. Et cela, sans dépenses nouvelles.