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La psychiatrie va mal. Le constat est partagé par de nombreux professionnels. Mais il est intéressant, par delà les plaintes et les regrets stériles et systématiques de dépasser ce simple constat et de prendre un peu de recul. En effet, il faut constater aussi que dans l’ensemble, le domaine des soins a progressé. Face à ce double constat, l’auteur nous invite à une relecture de l’évolution du champ psychiatrique depuis un demi-siècle. Après une description de ce qu’était la grande misère des soins dans la majorité des hôpitaux psychiatriques des années 70, il met l’accent sur un certain nombre de progrès indiscutables ayant été accomplis depuis. Leur effet principal : l’humanisation des soins, et un processus continu de subjectivation des personnes malades. L’argumentation est à la fois historique et clinique et ouvre sur de nombreux motifs d’espoir. La crise actuelle de la psychiatrie ne serait-elle pas un signe avant-coureur d’une révolution culturelle bienvenue, dont on peut ressentir les prémisses, dans le champ du soin psychiatrique ?