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Ce livre est le fruit de vingt années de recherches en histoire africaine. Il s'attaque à la désinformation et à la contre-histoire que certains médias et certains historiens véhiculent depuis des décennies. L'auteur, spécialiste du passé du continent noir, remet en question de nombreux tabous. Ainsi explique-t-il que, dans une grande partie de l'Afrique, les Noirs n'ont nullement été les premiers occupants, que les guerres tribales sont une constante de l'histoire africaine, que l'Europe n'a pas brisé l'équilibre des sociétés paradisiaques; qu'en Afrique du Sud, les Blancs ont précédé les Noirs sur 50 pour 100 du territoire ; que le credo normalisé par les historiens officiels et par l'Unesco repose trop souvent sur des à-priori idéologiques qui réduisent la valeur scientifique de leurs démonstrations. Il estime que la colonisation fut une chance historique pour l'Afrique noire qui n'a pas toujours su la saisir. Il montre que dans les années 1950 l'Afrique sub-saharienne était la partie la plus paisible du monde, que le continent noir ignorait alors les famines, que l'indépendance - trop brutale - eut pour l'Afrique des aspects négatifs, que l'on attribue à de fausses causes les maux dont elle souffre. La production alimentaire y croît plus lentement que la population, les intérêts de la dette ne peuvent plus être remboursés et l'ethnisme enraye le progrès. Au terme de son analyse, Bernard Lugan conclut qu'il faut cesser d'accuser le climat ou le prétendu pillage colonial. Il constate que tous les projets de développement ont échoué en Afrique et que, pour le monde développé, la question est désormais la suivante : que faire de plus pour sauver l'Afrique, pour éviter de continuer à dilapider une aide qui, détournée de ses objectifs, finit par aggraver la situation.