Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
« — Vous êtes un homme, il ne faut pas l’oublier, et moi une femme ; on n’est pas des anges, qu’en pensez-vous ?»
Avec Adam et Ève (1932), Ramuz donne corps à un projet qui l’a occupé pendant plusieurs années, et qui n’est rien moins qu’une réécriture des premiers chapitres de la Genèse. Destiné à « illustrer un vieux mythe d’Occident », le roman démontre la fatalité de la Chute. En peignant la désillusion de Louis Bolomey, Ramuz brosse une vision de la condition de l’homme sur terre qu’il assimile à un long désenchantement.
Charles-Ferdinand Ramuz, né en 1878 à Lausanne, vit dix ans (1904-1914) à Paris où il fréquente Charles-Albert Cingria, André Gide. En 1914, il revient en Suisse et s’occupe des Cahiers vaudois, fameuse revue qui réunit lCingria, René Auberjonois, Gustave Roud, Romain Rolland et Paul Claudel.
Son œuvre est une variations sur l’amour et la mort. Ses audaces stylistiques lui valent le reproche de mal écrire « exprès ».
Son œuvre est aujourd’hui publiée dans la collection de la Pléiade.