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Si, comme le dit Danielle Richardson, l’absurdité n’était à l’Espagne ce que la douceur est à l’Italie, on aurait pu intituler ce roman « la comédie de Don Cristobal ». Car Cristobal de Zalabeda, trente-sept ans, grand d’Espagne et époux de la célèbre romancière Victoria Gomis, est la figure centrale de ce livre, et la comédie qu’il joue à lui-même et aux autres, son sujet. Mais l’absurdité est là, partout présente ; elle est la fée qui s’est penchée sur le berceau de Cristobal et a marqué son destin. Qui est-il, au fond, cet homme qui se dit « artiste en mensonge, en tromperie et en vol », et affirme : « Jouer avec les gens, c’est beaucoup plus passionnant que d’écrire des romans » ? Nous ne l’apprendrons que très tard, mais tout au long du livre, nous aurons été fascinés par cette extraordinaire figure qui est peut-être celle d’un homme de génie. Et, en passant, nous aurons découvert les cent visages d’une ville que l’auteur connaît bien : Barcelone. « Absurda vida » est le premier roman de Danielle Richardson, et c’est un roman passionnant, plein d’intelligence et d’éclat.