Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Sigri rame sur le plus grand fjord et nous invite au voyage, à nous imprégner des paysages magnifiques de la Norvège en prenant le temps d'ouvrir les yeux sur la nature et les hommes qui vivent en lien avec elle. Ce livre est un souffle d'air venu du Nord ! On peut avoir une vie pleine et riche et ressentir une irreprécible envie de s'évader pour vivre autre chose, pour vivre autrement. C'est ainsi qu'un jour, Sigri décide de répondre à l'appel du fjord. A ses côtés, nichés dans sa vieille barque en bois, nous parcourons les deux cents kilomètres du plus grand fjord norvégien, le Sognefjord. Tout y est bouleversant, majestueux. De l'embouchure où elle a vécu enfant jusqu'à l'intérieur des terres où elle vit désormais, Sigri rame parfois seule, parfois accompagnée des siens. Toujours en osmose avec cette somptueuse nature alentour, l'autrice affronte les vagues comme les drames, se délecte des eaux calmes, de l'écho de sa voix contre la roche et de la douceur d'une baignade. Mêlant descriptions naturalistes, cheminement intérieur et histoire du fjord, son récit ne cesse de nous poser une question : faut-il toujours partir pour trouver sa place ?