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Une épaisse couche de gris semble recouvrir l’histoire de la RDA, ce petit pays né en 1949 des tensions entre les anciens alliés de la Seconde Guerre mondiale. Le gris des logements usés par les poêles à charbon, le gris des fumées industrielles, le gris du Mur de Berlin… Quelle était la vie quotidienne d’une famille est-allemande dans les années 1970, quelque part aux environs de Leipzig ? Quels étaient leurs croyances, leurs ambitions, leurs bonheurs ou leurs peurs à l’ombre du Mur ? Emmanuel Droit propose dans cet ouvrage de remonter le temps, de s’immerger dans une société qui nous semble aujourd’hui étrange et traverser ce « mur de brouillard », trente ans après la réunification, afin de saisir ce que pouvaient être des vies marquées par l’absence de libertés fondamentales. Sans rien enjoliver, ni dramatiser non plus. Raconter le quotidien là où règnent la contrainte et la surveillance, lire entre les lignes des discours de propagande, se mettre à l’écoute des gens ordinaires et de leurs problèmes, telle est l’ambition de cet ouvrage, dans la tradition littéraire et historique de Braudel, de Blanchot, de Pérec ou de Lefebvre. De l’entreprise à l’immeuble en préfabriqués, du club de jeunes à l’antenne locale de la Stasi, du supermarché à l’école, le lecteur se trouve projeté dans ce monde encore largement ignoré de la RDA.