Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je cadeautjes zeker op tijd in huis hebben voor de feestdagen? Kom langs in onze winkels en vind het perfecte geschenk!
Afhalen na 1 uur in een winkel met voorraad
Gratis thuislevering in België vanaf € 30
Ruim aanbod met 7 miljoen producten
Je cadeautjes zeker op tijd in huis hebben voor de feestdagen? Kom langs in onze winkels en vind het perfecte geschenk!
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Le second semestre de l'année 1965 est extrêmement riche en événements internationaux et, malgré les préoccupations de politique intérieure (en raison de l'échéance de l'élection présidentielle de décembre 1965), la politique extérieure française est omniprésente et souvent fort active. La crise ouverte dans l'Europe communautaire, les débats autour de la réforme de l'OTAN, la crise chypriote, les convulsions de l'Afrique noire, la tension entre l'Inde, la Chine et le Pakistan, sont autant de domaines où la diplomatie française intervient à des titres différents. La France se trouve au coeur de deux crises, très différentes par leur nature et leur enjeu. Au sein de la CEE, la crise de la chaise vide, ouverte dans la nuit du 30 juin au 1er juillet du fait de l'impossibilité de trouver un accord sur le financement de la Politique agricole commune (PAC), occupe tout le second semestre 1965. Le général de Gaulle rejette la responsabilité de la rupture sur ses partenaires et surtout il s'en prend aux dispositions supranationales du traité de Rome, dont la révision constitue un préalable à l'adoption du règlement financier de la PAC. L'acceptation par la France de la proposition des Cinq, formulée le 20 décembre, d'une réunion du Conseil à Luxembourg permet d'entrevoir une solution à la crise, mais la France réaffirme ses conditions pour sortir de l'impasse. L'autre crise, qui affecte les relations franco-marocaines, est l'enlèvement, à Paris le 29 octobre, de l'opposant marocain Medhi Ben Barka, effectué, avec la complicité de policiers et de membres de services français, à l'instigation du général Oufkir, ministre de l'Intérieur marocain. Cet acte ignoble, qui est en outre une grave atteinte à la souveraineté française, se transforme en une vraie confrontation du fait que le Roi du Maroc refuse de se séparer de son ministre et de l'extrader, malgré l'insistance très forte du général de Gaulle.