Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je cadeautjes zeker op tijd in huis hebben voor de feestdagen? Kom langs in onze winkels en vind het perfecte geschenk!
Afhalen na 1 uur in een winkel met voorraad
Gratis thuislevering in België vanaf € 30
Ruim aanbod met 7 miljoen producten
Je cadeautjes zeker op tijd in huis hebben voor de feestdagen? Kom langs in onze winkels en vind het perfecte geschenk!
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
La proposition d'aide à l'Europe formulée par le général Marshall le 5 juin continue à occuper au cours du second semestre de 1947 le devant de la scène. Il est tout de suite évident que l'on se dirige vers la coupure du continent en deux. Mais une fois le principe de l'aide Marshall admis, de nombreux problèmes se posent. La question allemande est également liée au plan Marshall: la France doit-elle accepter ou pas de fusionner sa zone avec les deux autres zones occidentales ? Il devient rapidement évident, pour la plupart des responsables, qu'il n'y a pas d'autre solution réaliste, même si on se garde bien de le proclamer. Le choix occidental de la France est désormais clair. L'un des apports majeurs de ce volume est de démontrer que le rapprochement franco-britannique manifesté par le traité de Dunkerque n'a pas été qu'un feu de paille mais a lancé une réelle phase de coopération. Les affaires du monde arabo-musulman préoccupent toujours davantage Paris. Mais bien entendu c'est la question de la Palestine qui domine. La formule du partage suscite à Paris de sérieux doutes, même si certains estiment qu'il s'agit de la moins mauvaise solution, mais finalement la France décide de se rallier à la majorité lors du vote à l'ONU du 28 novembre. Mais une grande affaire reste l'Asie. En Indochine, on conclut avec Bao Daï la déclaration de la Baie d'Along, le 6 décembre. Cette déclaration est ambiguë. À Paris les réactions sont diverses. Les services du Quai paraissent penser, à la différence du gouvernement, que cette déclaration est si favorable à la France qu'elle n'a aucune chance d'amener les partisans de Hô Chi Minh à se séparer de lui et à rallier Bao Daï. Le décor de la guerre d'Indochine était désormais définitivement en place.