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« Bonne année ! » : c’est par ces mots traditionnels, écrits ou prononcés par des millions d’individus au même instant, que Gaston Calmette, le directeur du quotidien Le Figaro, salue l’avènement de l’année 1914 à la une de son journal. Comment pouvait-il savoir que, peu après sa brutale et tragique disparition, le monde qui l’entourait allait basculer à son tour dans les ténèbres ? Pour entrer dans une nouvelle ère, engendrée par un monstrueux chaos guerrier, annonciateur des autres brisures qui hacheront le xxe siècle.Dans une puissante Europe secouée récemment par plusieurs crises localisées qui ont menacé de dégénérer, les grands acteurs – France, Russie, Grande-Bretagne, d’un côté, Allemagne et Autriche-Hongrie de l’autre – accompagnés de leurs satellites, vont finalement en découdre. Les ferments de la guerre ? On peut les rattacher à diverses causes : prédominance du sentiment national, nationalismes exacerbés, rivalités économiques, financières et coloniales. Car il est certain que l’événement officiellement déclencheur du mécanisme fatal – l’attentat de Sarajevo du 28 juin 1914 – ne suffit pas à expliquer le conflit. Il convenait donc de conduire une « enquête sur une guerre programmée » que Gérard Chauvy mène ici magistralement à son terme.Un livre capital pour comprendre pourquoi l’année 1914 est restée gravée dans l’Histoire comme une « année tragique », celle de la fin d’un monde.