Balzac à la recherche du mystère et du culte qui est au centre de La Comédie humaine : «Depuis quelques mois, d'Arthez était l'objet des railleries de Blondet et de Rastignac qui lui reprochaient de ne connaître ni le monde ni les femmes. L'amour, réduit à ce que le faisait la Nature, était à leurs yeux la plus sotte chose du monde. L'une des gloires de la Société, c'est d'avoir créé la femme là où la Nature avait fait une femelle ; d'avoir créé la perpétuité du désir là ou la Nature n'a pensé qu'à la perpétuité de l'Espèce. D'Arthez connaissait peut-être la femme, mais il ignorait la divinité.» (Les Secrets de la princesse de Cadignan.)
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