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On retrouve dans ce livre la verve et l’humour qui faisaient déjà le charme de Mes mille et une voitures et de Mes dix mille cerfs-volants. Gabriel Voisin évoque cette fois les péripéties de son enfance, alors qu’en compagnie de son frère il découvrait les plaisirs de la chasse et l’ivresse de la liberté, au cours des vacances que les deux garçons passaient dans la campagne lyonnaise. Armés d’arcs et de flèches, puis d’un fusil rudimentaire de leur fabrication, ces deux braconniers en herbe mènent la vie dure aux étourneaux, aux corneilles et aux canards, non sans connaître de pittoresques mésaventures. Plus tard, ce sera la chasse en « voiture » en Seine-et-Oise et même certaine expédition en Égypte... Toutes ces aventures savoureuses sont contées avec humour, pour notre plaisir et celui de leur nostalgique narrateur : nous sommes un peu ici dans l’univers enchanté et pittoresque de Raboliot, de la Guerre des boutons ou de Tom Sawyer. Mais on voit naître aussi et prendre corps chez le futur constructeur de voitures et d’avions la vocation de l’ingénieur qu’il deviendra, et ce n’est pas le moindre attrait de ce livre qui, en même temps que l’évocation d’une jeunesse turbulente, nous apparaît ainsi comme le récit d’un « apprentissage » du métier d’homme.