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Puisqu’il est impossible de se limiter à un point de vue strictement technologique dans toute analyse des opinions, il en résulte, lorsqu’on se place dans le cadre particulier de la psychologie de l’impôt, l’obligation de se mettre tour à tour à la place de chacun des acteurs de la vie fiscale. Cela veut dire, en clair, que toutes les personnes ayant à quelque titre que ce soit à connaître des impôts doivent être prises également en considération. Le problème se pose donc exactement dans les mêmes termes s’il s’agit du ministre en charge de la fiscalité, d’un haut fonctionnaire de la D.G.I. ou du S.L.F., d’un inspecteur des impôts ou du plus modeste des agents d’exécution de l’administration fiscale. Il concerne également les diverses catégories de comptables et de conseillers fiscaux ainsi que les juges de l’impôt. Il s’étend à l’ensemble des contribuables, petits ou gros, quelle que soit leur activité, à ceux qui paient régulièrement leurs impôts, aux petits fraudeurs occasionnels, aux grands fraudeurs ou aux ennemis déclarés du fisc. Il est même nécessaire de savoir se mettre à la place des responsables des divers syndicats du personnel des administrations fiscales comme des leaders des groupements antifiscaux. Une telle gymnastique de l’esprit serait toutefois vaine si elle se réduisait à une simple performance technique. Pour être efficace, elle doit être sincère. Elle est même d’autant plus efficace qu’elle est plus sincère. Le psychologue de l’impôt doit donc s’engager, ne fût-ce qu’un instant de raison, dans les catégories de la pensée de son interlocuteur quel qu’il soit.