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De son arrestation en 1940 à sa mort en 1944, Georges Mandel, ancien ministre des Colonies puis de l’Intérieur, a été interné par Vichy, enlevé par les SS avant d’être déporté en Allemagne puis ramené de force en France pour être livré à la Milice et assassiné en forêt de Fontainebleau. La persécution dont il a été l’objet doit autant à son refus de l’armistice en juin 1940 qu’au fait d’être juif : Mandel est rapidement devenu une cible prioritaire du régime de Pétain puis du pouvoir nazi. Au cours de ces quatre années tragiques, l’ancien chef du cabinet civil de Clemenceau (1917-1919) au courage héroïque ne s’est jamais fait d’illusion sur la fin qui l’attendait, comme le montrent ses archives personnelles. Ce sont ces années que raconte Antoine Mordacq, à partir d’archives considérables, notamment des lettres quasi-quotidiennes que Mandel, sa femme et sa fille s’écrivent. Ce récit brillant et haletant donne ainsi un nouvel éclairage sur l’action d’un homme en résistance face au nazisme et à Vichy.