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«?Moi-même et mes amis des Cahiers du cinéma (c’est-à-dire Claude Chabrol, Jacques Rivette, François Truffaut et Jean-Luc Godard), nous allions presque tous les soirs à la Cinémathèque voir des films. C’est là que j’ai vu la grandeur du cinéma?; et que j’ai voulu le dire aussi grand que la littérature, la peinture et les autres arts.?» Éric Rohmer
En 1955, Éric Rohmer, qui n’est encore que critique, publie une étude retentissante dans les Cahiers du cinéma?: «?Le celluloïd et le marbre?», enquête sur les arts observés du point de vue du dernier-né d’entre eux, le cinéma. En octobre 2009, alors que son œuvre, devenue l’une des plus importantes de son époque, est achevée, il donne un entretien-fleuve à Noël Herpe et Philippe Fauvel. C’est l’occasion pour lui de reprendre sa réflexion sur la littérature, la peinture, la musique, l’architecture, confrontées cette fois à son expérience de cinéaste – mais aussi de livrer quelque chose de son intimité intellectuelle et sensible. Ce volume réunit les deux temps. Il met en vis-à-vis le texte de jeunesse et la parole du vieil homme jetant un dernier regard sur ce qui fut le cœur de sa vie?: ce qu’il a nommé, naguère, le goût de la beauté.
Éric Rohmer (1920-2010) est l’auteur et le metteur en scène de vingt-cinq longs métrages, du Signe du Lion aux Amours d’Astrée et de Céladon, en passant par Ma nuit chez Maud, Le Genou de Claire, Pauline à la plage, Les Nuits de la pleine lune, Le Rayon vert ou Conte d’été.