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Albin Doulon est un homme heureux. À quarante ans, cet antiquaire nantais, élégant, raffiné, aimé des femmes, peut se féliciter de sa réussite professionnelle. « En somme, se dit-il ce matin-là, qu’est-ce que je demande à la vie ? Fort peu de choses. J’aime vivre au milieu de la beauté, celle des femmes, celle des objets. L’argent ? J’en ai plus qu’il ne m’en faut. » Un seul point noir : Natacha, sa superbe vendeuse qui, inexplicablement, semble réfractaire à son charme, bien qu’elle ait tendance à se montrer jalouse des amitiés féminines d’Albin. Mais Doulon ne doit pas accorder trop d’importance à ce qui n’est qu’un minuscule grain de sable dans une vie bien réglée. Pourtant, s’il savait ce qui l’attend... S’il se doutait des désagréments que va lui apporter sa rencontre apparemment fortuite, sur le marché aux puces de la place Viarme, avec un inconnu à l’élégance tapageuse qui manifeste tous les signes d’une grande nervosité... Comme le dit le commissaire Fonducœur, « la mécanique la mieux huilée finit par s’enrayer, à cause d’un simple grain de sable parfois. » Et c’est là qu’on s’aperçoit que les gens ne sont pas toujours ce qu’ils paraissent être. Ni ce qu’ils voudraient qu’on croie qu’ils sont.