Du sentiment de la nature dans les sociétés modernes
« Élisée Reclus nous est d'un grand secours, en nous faisant voir ce que nous ne voulons pas voir, quand dans ce texte il nous représente que la puissance prédatrice du capital va jusqu'à s'attaquer à l'infini de ce qui n'a pas de prix. Encore que la volupté dont s'accompagne pour lui le sentiment de la nature, prouve que cet infini, nous en sommes aussi porteurs et qu'il appartient à chacun de l'utiliser comme la plus déconcertante arme dissuasive contre ce qui enlaidit, amoindrit et asservit. Aujourd'hui que nous sommes le dos au mur face à l'abîme, c'est peut-être une de nos dernières chances. »
Annie Le Brun
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