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Y a-t-il des idées, des pensées universelles partagées, présentes, en toutes les cultures de la planète ? Une équipe du Centre d’études et de recherches sociologiques (CERS), sous la direction d’André Levesque, a pratiqué — en France — pendant de nombreuses années, une méthode qui a permis — à des groupes très divers — de définir certaines oppositions premières et communes, résumant des tensions vécues dans des problèmes concrets : un et multiple, moi et l’autre, liberté et contrainte... André et Georges Levesque ont eu l’idée d’expérimenter la même méthode dans cinq pays : Inde, Brésil, Burkina Faso, Chine, Japon. Les auteurs de ce dossier racontent d’abord l’aventure de chercheurs qui ont dû enrichir leur démarche : l’universel, dans chaque culture, n’est pas séparable des particularités rencontrées, et ne peut se comprendre sans elles. Ils s’efforcent ensuite de rassembler les enseignements du très riche matériau recueilli. Ils se demandent comment, dans chaque pays, les gens cheminent vers l’universel, comment pensent les gens et quelles sont leurs valeurs. Peut-être n’y a-t-il pas de valeurs universelles, mais des contraires, qui sont universellement opposés, et qui rendent possibles des choix divergents de valeurs. Un dossier qui ouvre un vaste débat sur le dialogue des cultures, à partir d’une idée simple : les cultures devraient pouvoir se rassembler, sans pour autant se ressembler. Des goûts et des valeurs, on peut discuter, si on le fait dans un climat de reconnaissance et de respect mutuels.