Le 1er avril 1978, Murakami décide de vendre
son club de jazz pour écrire un roman. Assis
à sa table, il fume soixante cigarettes par
jour et commence à prendre du poids.
S'impose alors la nécessité d'une discipline.
La course à pied lui permet de cultiver sa
patience, sa persévérance. Courir devient
une métaphore de son travail d'écrivain.
Journal, essai, au fil de confidences inédites,
Murakami nous livre une méditation lumineuse
sur la vie, qui, comme la course, ne tire pas
son sens de sa fin inéluctable.
«Un traité de sagesse à la japonaise, et
c'est aussi la source cachée de l'oeuvre de
Murakami, l'homme aux semelles de vent
qui dévore les mots et le bitume avec la
même fringale.»
André Clavel, L'Express
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